Par David Clos-Sasseville,
Membre du Comité de sélection
et délégué de la PIM
Bonjour,
Sauf peut-être sur un point, je ne partage pas les points de vue de Rémi. Tout d’abord, les décisions d’hier repose peut-être, dans le cas de Rémi, sur un manque de recul comme il l’affirme, mais ma position quant à elle repose sur mon expérience sur des comités d’embauche de l’AFESH et sur la décision pris en PIM et en AG. Soit,
Ensuite, après avoir discuté avec Rémi et lu sa lettre, je pense que ce dernier comprend mal la position et la fonction de
L’autre dimension du problème, tous les candidatEs proviennent d’un milieu petit et restreint, le monde militant, l’exécutif aussi et ce dans sa totalité. Quand on sait que, de l’avis même de Rémi, l’exécutif ne considérait déjà que ses candidats vedette, soit Philippe Gauvin et David Simard, on peut en conclure qu’ils soient très prêt de ce milieu et des dits personnages. De plus, circonstance spéciale de cette embauche, des soupçons plane sur la production de l’offre d’emploi qui aurait été faite en fonction d’une des candidatures en particulier. Cette circonstance se trouve aggravé par le fait que l’exécutif, avant même que l’offre d’emploi soit lancée, ait discuté dans une réunion officielle du fait de prendre cette candidature ou pas au poste offert. D’envisager l’embauche d’une personne avant même que l’offre soit lancée c’est déjà limite surtout quand on soupçonne que la définition de tâches amener en Assemblée Générale par l’exécutif (qui n’a pas le droit de faire de proposition, selon la charte, mais qui s’arrange pour les faire passer par des individus en soulignant qu’ils en ont discutés en réunion) est faite sur mesure pour un candidat.
Pour toute ces raisons, je pense que l’on devrait s’en tenir à la décision prise hier et qui va tout à fait dans le sens de la proposition prise en PIM, l’instance à laquelle nous sommes redevable comme comité d’embauche.
En ce qui concerne les candidatures, l’analyse de Rémi me semble erronée sur quelques points majeurs. Tout d’abord, je suis tout à fait d’accord pour dire que les trois candidatures soient « aptes et capables d'occuper à notre satisfaction le poste ouvert selon les attentes affichées ». Par contre, « Un second candidat se distingue pour sa part par son implication dans des groupes d'action politique souvent rattachés ou issus du mouvement étudiant, par son expérience de travail comme infographe, comme communicateur » cette phrase convient tout autant au deux autres candidatures et il ne me semble pas que l’une d’entre elle ressorte pour cette raison (sauf spécifiquement sur l’infographie), il n’y a qu’à regarder les CV. Cette présentation faite par Rémi est un plaidoyer contre l’existence de l’objectivité. Ce qui nous mène à ces deux visions contradictoire du poste. Qui, à mon sens, sont loin d’êtres celles présentées. Ce qui distingue les deux candidatures retenues par Rémi dans sa lettre, c’est une approche militante du poste ou une approche de service au membre du poste. Oui, les deux candidatures proviennent du milieu militant, mais la distinction claire qui est ressortie de l’entrevue c’est l’approche du poste.
En ce qui concerne la troisième candidature, étant donné l’impossibilité d’arriver à un quelconque consensus sur les deux autres, je pense que nous devrions tout de même la présenter à
Finalement, l’Assemblée Générale, a désigné
Donc je propose que l’on continue comme prévue, que l’on présente les trois candidatures selon leur entrevue et leur CV devant
Pour conclure, je trouve un peu décevante la dernière partie de la lettre ou Rémi donne un plus-value à son opinion par l’avis de son père en y ajoutant ses fonction, ce qui relève tout simplement du sophisme d’autorité. Sans discuté de la qualité de l’avis, il me semble que cette personne n’ait aucune idée des conditions spécifique de l’AFESH et si, à mon avis, Rémi se méprend sur sa perception de
N.B. Merci de respecter la politique du huis clos, je dois sûrement avoir fait plein de faute aussi.
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